Cette fois ci la voiture était pleine et j'ai du laisser une personne à Nîmes mais non carté chez nous, Bruno.
Donc nous étions 5, tous membres des Red, Nico, Gwendoline, Patrick "casse couilles" Roussel et son fils Brice.
Départ à 11 heures, sous les meilleurs auspices vu que Nîmes ayant gagné 4 à 1 contre Arles, Patrick ne pouvait pas critiquer. (Malheureusement il aura l'occasion de se rattraper au retour
).
A 13 heures, pause repas sur l'autoroute vers Lyon qui consistera à 1 seul café, vu le prix prohibitif des sandwiches (7 EUROS) que nous ferons nous-même pour Monaco, c'est décidé. Car dans l'optimisme de l'aller, tout est prêt pour ce prochain déplacement.
Lors de cet arrêt, nous croisons les supporters allemands qui reviennent de Marseille, suite au match de la veille. Ils sont tous passablement alcoolisés mais de bonne humeur.
Arrivée à Dijon à 16 H 30, repérage du stade, discussion avec des stadiers sympas qui nous indiquent l'entrée du stade.
Coup de fil à Alain Gazeau pour savoir si l'on peut avoir des places gratuites, pas de problèmes, on en aura 5.
On décide d'aller faire un tour en ville, malheureusement un accident bloque les tramways et les voitures.
Donc après 3/4 d'heure de bouchon, on fait demi tour, et nous revenons au stade.
Tout le monde est impatient et nous attendons 1/4 d'heure devant des portes fermées.
Enfin le match commence, et malheureusement aussi le show de Patrick "casse couilles" Roussel.
Après 5 minutes de jeu, il est évident que l'on va perdre, que Parpeix est un "enc...", Robail "un fils de p..." et que l'on joue comme des PD.
Nous ratons un nombre incroyable d'occasions, ce qui ne fait qu'augmenter la colère de Patrick. Dispute père - fils, Nico et Gwendoline sont eux tranquilles dans leur coin.
Fin du match, et nous allons voir la sortie des vestiaires.
Discussion avec Alain Gazeau, Nicolas Bénézet dans son coin drague 2 filles de Dijon, derrière les grilles.
Arrivée de Zvunka qui m'apercevant se fait ouvrir les grilles et vient discuter avec nous. Grosse moment de frayeur à ce moment là, vu que Patrick en a après tout le monde.
Nous discutons 30 minutes avec l'entraîneur, il est en colère de la tournure du match, Patrick lui explique qu'on vient de faire 5 heures de route et qu'on va en faire 5 autres au retour et qu'on aimerait les voir gagner de temps en temps....
Zvunka sort son téléphone, pour regarder le classement et nous commentons celui-ci.
Finalement nous n'avons pas perdu de place.
Il est temps de partir, les joueurs partent manger à Macon...
Nous dans une pizzéria à 600 mètres du stade. Un petit pastis, une bouteille de vin, un digestif et nous voila prêt à rentrer à Nîmes.
Retour comme d'habitude très mouvementé, car l'avenir du Nîmes Olympique s'annonce noir et comme nous dit Patrick, "il faut comprendre que j'ai une vie de famille, que je laisse ma femme seule, donc pas question d'aller à Monaco"
Arrivé vers Orange, changement de situation, Patrick tombe d'un seul coup en admiration de Jean-Louis Gazeau, que l'on est des PD de le critiquer, que sans lui Nîmes serait mort, que les repreneurs feraient tomber l'équipe.
Arrivée à Nîmes à 4 heures, ira t-on à Monaco ?
On le saura le 14 décembre