O.M ( Marseille )

Gerets : «Larsson a le profil»


Interrogé mardi à La Commanderie sur les renforts possibles pour
l'OM, Eric Gerets n'a pas souhaité citer de noms, précisant simplement
qu'il avait défini «une priorité» : «J'ai donné à mes
dirigeants le profil des joueurs que j'aimerais avoir pour compléter
mon effectif. J'ai une priorité pour un joueur pour un poste (...).
Mais ce n'est pas simple, car d'autres clubs sont également intéressés», a indiqué l'entraîneur olympien, cité par La Provence. Concernant Henrik Larsson, le technicien belge a reconnu que l'attaquant international suédois avait «le profil recherché».

Grandin et Samassa pas chauds


Pour faire de la place à un attaquant de poids (Larsson ? Jovanovic
? Crespo ?), l'OM envisagerait de prêter Elliot Grandin et Mamadou
Samassa. Problème : les deux hommes n'ont pas envie de partir et
assurent qu'en interne, ce discours ne leur pas été tenu. C'est ce
qu'ils ont indiqué à La Provence, lors de la reprise de l'entraînement.

Grandin, qui intéresserait Sochaux, Le Havre, Valenciennes et Grenoble, dit «ne pas savoir d'où cela vient». «Je n'ai pas encore discuté avec le coach. Mais je suis bien ici, je me sens marseillais. J'ai le temps» a-t-il confié au quotidien marseillais, qui publie ces propos mardi. Même sensation chez Samassa : «Je
l'apprends... Je reviens du Mali où je suis allé voir ma famille. Le
club voudrait un autre attaquant ? C'est son choix. Pour la suite, je
vais voir. Une chose est sûre : si je suis au niveau, je jouerai.
Sinon...»

Zenden out, Gnabouyou première


Boudewijn Zenden et Rudy Riou ont rejoint Lorik Cana, Elliot Grandin
(tendinite), Vitorino Hilton (genou), Mamadou Niang (fracture) et Hatem
Ben Arfa (suspendu) au rayon des joueurs indisponibles pour le
déplacement de Marseille à Besançon, dimanche, lors des 32es de finale
de la Coupe de France. Le premier est malade, tandis que le second
souffre d'une luxation à un doigt. Le jeune attaquant Guy Gnabouyou
fait sa première apparition de la saison dans le groupe phocéen.

Le groupe marseillais : Mandanda, Munoz - Rodriguez, Zubar,
Taiwo, Bonnart, Mears, Givet, Civelli - Ziani, Cheyrou, Valbuena,
M'Bami, Kaboré, Krstic - Koné, Samassa, Gnabouyou

L'OM entre autres sur Sanogo



Si la neige paralyse la ville de Marseille, les dirigeants olympiens
continuent de travailler. En cas d'échec des négociations avec le
Brésilien du Chakhtior Donetsk, Brandao, les Phocéens auraient
plusieurs solutions. La première mène à Boubacar Sanogo qui évolue au
Werder Brême et où il joue très peu (un seul match titulaire cette
saison en Bundesliga).

L'Ivoirien sait que l'OM le surveille. Il l'a déclaré jeudi dans L'Equipe : «
Marseille est un club qui fait rêver tous les Africains. Je connais
bien Charles Kaboré. On va voir ce qui se passe. Mon représentant est
au courant. Moi, je n'ai rien demandé. Je veux réussir au Werder, mais
pour cela, il faut jouer. Si ce n'est pas le cas... » ... L'attaquant de 26 ans pourrait bien atterrir sur la Canebière.

Enfin, les réseaux marseillais travaillent sur d'autres pistes.
Antonio Farias (28 ans) de Porto mais également Nabil Baha de Malaga et
passé par Créteil suscitent l'intérêt des dirigeants marseillais.

Arrivé le 25 septembre 2007 à Marseille, Eric Gerets ne serait pas enclin à rester très longtemps à la tête du club phocéen.



Selon le quotidien Aujourd'hui en France, l'entraîneur de l'OM ne souhaiterait pas prolonger son contrat qui se termine en juin prochain


avait-il confié en octobre dernier.

Gerets laisse planer le doute



Pape Diouf et Erik Gerets laissent planer le doute quant à une
éventuelle prolongation du technicien à la tête de l'Olympique de
Marseille. Alors que son contrat expire en juin, l'entraîneur belge a
indiqué dimanche qu'il continuerait à entraîner la saison prochaine, «mais je ne peux pas vous dire si ce sera ici». Il a précisé que les moyens et les ambitions du club phocéen entreraient en ligne de compte dans sa réflexion. Il «veut absolument terminer (sa) carrière avec un ou quelques titres».

«Si on te met une pression sur les épaules, il faut aussi te fournir les atouts pour réussir, a-t-il expliqué. Je
suis bien à Marseille et dans cette région, alors si on me donne les
moyens d'atteindre les objectifs que j'ai en tête, il y aura une
possibilité». Au sein du club, la question de sa prolongation
dépendrait en grande partie du classement final. Gerets a pour mission
de classer l'OM à l'une des deux premières places du Championnat. «Si on atteint nos objectifs, j'attendrai une proposition du club. Après, je verrai si elle me convient ou pas».

Diouf : «Le départ de Gerets pas lié au recrutement»
De son côté, Pape Diouf n'a pas fermement démenti le possible départ
de son entraîneur. Le président marseillais a simplement expliqué que
celui-ci ne serait pas lié aux difficultés rencontrées par le club pour
s'attacher les services d'un attaquant cet hiver. «Un amalgame a été
fait selon lequel notre recrutement qui tarde, allait amener Erik
Gerets à partir, qu'il s'impatiente, qu'il demande, qu'il réclame, a-t-il regretté. Un
départ de Gerets ne serait absolument pas lié à un quelconque
recrutement. En temps et en heure, vous saurez ce qu'il faut savoir».

il faut qu'il le garde , car gerets est un trés bon entraineurs

je suis aussi de ton aviscar c'est l'un des meilleurs entraineurs de ligue 1 si ce n'est le meilleur.

A peine arrivé à l'Olympique de Marseille, l'attaquant brésilien Brandao (28 ans) ne craint pas d'afficher ses ambitions.

Sans fausse modestie.

"D'ici quatre mois, j'aurai montré toutes mes qualités et tout le monde aura appris à me connaître, annonce mercredi le transfuge du Shakhtar Donetsk dans les colonnes de La Provence.

En Ukraine, j'ai souvent regardé les matches de l'OM à la télévision.
Et le contexte m'a séduit.
Mon style va changer beaucoup de choses. Je suis un battant sur le terrain et je donnerai le maximum pour rester le plus longtemps possible ici."

L1 - Marseille - Wiltord prêté à l'OM


En manque de temps de jeu à Rennes, Sylvain Wiltord a débarqué à Marseille ce jeudi midi, 24 heures après le Brésilien Brandao. L'ancien attaquant d'Arsenal doit signer un prêt de six mois avec l'Olympique de Marseille et sera présenté à 17h30.

Sylvain Wiltord va donc connaître son cinquième club, ce qui n'est pas pour déplaire à l'entraîneur marseillais qui tire un joli portrait de l'international français sur le site de l'OM : «Nous avons l'opportunité de le prendre pour six mois. Nous avons besoin d'un joueur d'expérience, qui apporte dans le vestiaire, et qui a une mentalité exemplaire.» D'ailleurs, le technicien belge révèle que c'est José Anigo qui lui a suggéré le nom de Wiltord : «Il me l'a proposé, et tous les renseignements que j'ai pu prendre sur lui se sont révélés très très positifs.» Gerets a également ajouté que le mercato serait «clos» après la signature de Wiltord, rapporte La Provence.

Wiltord : «Apporter un plus»



Fraîchement débarqué à la Commanderie, Sylvain Witord a livré ses
premières impressions au site internet de l'OM après avoir signé un
contrat de six mois. Les contacts entre les parties ont été noués il y
a deux semaines et dès à présent, l'international français aux 92
sélections souahite retrouver le terrain : « On m'a contacté il y a
environ quinze jours. Ca s'est accéléré très vite quand j'ai à mon tour
solliciter l'OM. Je ressens beaucoup de plaisir et je suis content
d'être dans uns des plus grands clubs de France. Il me faut juste du
temps et ensuite, tout ira bien. »

La belle histoire entre Wiltord et Marseille ne fait donc que commencer : «
Je sais qu'ici, il y a un bon effectif. L'OM veut être dans les deux ou
trois premiers. Je vais tout mettre en oeuvre pour que l'on atteigne
les objectifs. »

La concurrence est importante
Si l'ancien Rennais était « le titulaire » du banc breton, à l'OM,
la partie n'est pas encore gagnée car la concurrence est rude (Ben
Arfa, Koné, Niang, Samassa, Zenden). Le trentenaire le sait évidemment
: « Je vais essayer d'apporter un plus. , avec mon expérience, y
compris quand je ne jouerai pas. Et quand je serai sur le terrain
j'apporterai toute ma hargne, toute mon envie. » Effectivement, à l'écouter, ce n'est pas l'envie qui manque. Tant mieux pour Marseille.

Gerets : «Une grande maladresse»


Agacé par les reproches de Robert Louis-Dreyfus, Eric Gerets défend, mardi dans France Football, son bilan, sa réputation et son équipe. «Je n'arrive toujours pas à comprendre pourquoi on se met tout d'un coup à tirer des bilans en plein milieu de la compétition», explique le technicien dont les propos sont relayés par Francefootball.fr. Il n'hésite pas à qualifier la démarche de Robert Louis-Dreyfus de «grande maladresse».

L'entraîneur belge de l'OM assure par ailleurs que son obsession
reste de décrocher le titre de champion de France dès cette saison.
Mais il faudra «peut-être davantage bouger les joueurs en leur demandant plus de sacrifices», souligne-t-il. Seule certitude, les récents évènements n'ont en rien entamé ses ambitions. «Il en faudrait plus pour m'abattre ou m'atteindre (...). Alors, tant qu'ils ne me demandent pas d'arrêter, je fonce.»

Brandao et Civelli buteurs avec l'OM


Opposés à Cassis-Carnoux en match amical, l'Olympique de Marseille a
fait le métier ce vendredi après-midi sur les terrains de la
Commanderie. L'OM s'impose (3-0) grâce à trois buts de la tête signés
Civelli (doublé) et Brandao. Les passeurs décisifs se nomment Zenden
(deux passes) et Ziani. A noter également que Sylvain Wiltord a débuté
la rencontre. Mandanda, Niang, Samassa, Ben Arfa, Hilton étaient, eux,
absent.

Gerets minimise l'incident


Le 16e de finale en retard de Coupe de France à Lyon, mercredi, a
été préparé avec beaucoup d'engagement par l'Olympique de Marseille, la
fougue investie lors de l'opposition lundi matin donnant même lieu à un
accrochage entre Ziani et Ben Arfa. Un incident qui n'a pas inquiété
Eric Gerets, loin de là. «Aussi longtemps qu'ils ne se frappent pas à la figure, cela fait partie du métier, moi, ça m'a fait rigoler un petit peu», a-t-il dit. Pour Zenden, «c'est tout à fait normal, ça peut arriver 10, 12 fois par saison». «Tant
que ce ne sont pas toujours les mêmes, que c'est un peu cadré, ce n'est
pas un problème. Il y a de l'engagement, il y a des mots et après, ils
se retrouvent tous en train de jouer au baby-foot, je ne crois pas que
cela serve à quelque chose d'aller chercher plus loin», a estimé le milieu néerlandais.

c'était certain , Ben Arfa fout encore la merde .....

De toute façon je crois que ou qu'il aille il foutra la merde .C'est ce que l'on appele un enfant gaté (surtout par le pognon).

Alors que le groupe marseillais a débuté lundi matin sa séance de décrassage après la défaite à Sochaux, Mamadou Niang continue de son côté un travail spécifique de plus en plus intense.

L'attaquant phocéen, dont le retour n'est toujours pas programmé, ne cache plus son impatience de retrouver le chemin de la Ligue 1.

Le staff olympien devrait en dire plus cette semaine sur ce dossier.

Diouf met un coup de pression



Dans un entretien accordé ce mercredi à L'Equipe, Pape Diouf préfère «relativiser»
la défaite de dimanche à Sochaux (0-1), soulignant les six points pris
sur neuf possibles depuis la trêve. Mais en ajoutant l'élimination en
Coupe à Lyon (0-1), il concède que «les deux défaites d'affilée restent dans les esprits».
Le président de l'OM en tire les arguments pour mettre la pression sur
son effectif avant le match de dimanche contre Bordeaux. «On doit faire de ce match celui de la rédemption, dit-il. C'est
un adversaire direct à une place en C 1, donc on peut parler de match à
six points. L'objectif reste la Ligue des champions. C'est écrit dans
les gènes du club, dans son ADN.»

Au détour de l'entretien, Diouf place quelques pics à l'encontre de
l'OL et de l'environnement médiaque de son club, obligé de vivre «en permanence sur le qui-vive» ou d'être «soumis à l'arbitrage des incompétents et des nuls». Diouf éructe : « Si Cavenaghi avait été recruté chez nous, il serait déjà reparti et on nous aurait taxés de ''tocardise''.
Aujourd'hui, il est quasiment le meilleur buteur de L1. Je ne saurai
jamais si Erbate pouvait être le nouveau Naybet. Karim Ziani, sans
certaines circonstances, serait parti car on disait qu'il n'était pas
fait pour l'OM alors qu'il est l'un des meilleurs cette saison.» Et d'espérer que Ben Arfa ne sera pas grillé avant l'heure par le contexte marseillais. «Son talent, qui confine parfois au génie, finira par s'exprimer, j'en suis persuadé.»

allez l'OM

C'est un peu la merde la bas en ce moment ...

ils ont intérêt à gagner ce week-end pour rester vers le wagon de tête et en plus contre un concurrent direct

il faut croisé les doigts ....

Rodriguez : « Diarra, pas un poète »



Qui a dit que l'OM n'avait pas recruté de défenseur lors du mercato
d'hiver ? Revenu patiemment de blessure cet hiver, Julien Rodriguez,
brassard au bras, est bien le nouveau patron de la défense
marseillaise, qui en était orphelin depuis le début de la saison. Axe
droit, l'ex-Monégasque a livré dimanche contre Bordeaux un combat
impressionnant, parfois à la limite. Il l'a complètement assumé, lundi
matin après le décrassage à la Commanderie, pas inquiet une seconde à
l'idée que le comité de visionnage se saisisse de la rencontre, comme
l'a suggéré Alou Diarra.

« Julien Rodriguez, vous êtes sorti en fin de match contre
Bordeaux pour un coup. Eric Gerets avait l'air, inquiet, hier. Ça va ?
Oui. Renato Civelli m'a remplacé. Il était chaud bouillant. C'est un
compétiteur, à l'entraînement, il est toujours très présent dans sa
mentalité. En fait, quand j'étais par terre, c'est Ben (Cheyrou) qui a
demandé le changement. Une fois sur le bord du terrain, je voulais
rentrer à nouveau. Mais le changement était fait. C'est juste un coup.
Tant qu'ils ne touchent pas à ma cheville (qui l'a éloigné des terrains pendant huit mois), ils peuvent taper partout, pas de problème.

On a l'impression que vous avez apporté un vrai plus dans l'engagement, sur le match d'hier. Qu'en pensez-vous ?
De l'engagement, il y en a eu des deux côtés. On avait vu sur la
vidéo que cette équipe mettait beaucoup d'impact dans les duels.
Marseille passait pour une équipe toujours en dedans. Si les Bordelais
pensaient ça, ils se sont trompés. Ils sont tombés sur un os, et on a
logiquement gagné le match.

Eric Gerets a-t-il insisté pour que vous montriez personnellement l'exemple ?
Non. Je le fais pratiquement à tous les matches. Bon, peut-être plus
sur un match comme ça. J'ai un peu pris la parole devant le groupe par
rapport à tout ce qu'on avait vu à la video. Il fallait répondre. Et on
savait qu'on aurait le public avec nous si on le faisait.

C'était parfois limite, non ?
C'était limite des deux côtés. J'ai connu d'autres matches beaucoup
plus engagés que ça. Le foot part de ce principe-là. Les deux équipes
s'entraînent toute l'année pour pouvoir se battre comme ça sur le
terrain. Il y a eu du contact et de la casse des deux côtés, c'est
comme ça.

Alou Diarra dit espérer que le comité de visionnage se saisira de ce match, et il a cité votre nom. Êtes-vous surpris ?
Moi aussi j'aimerais bien revoir les images avec lui. J'ai pris un
carton jaune. Pas de problème. Je le méritais. Sur les autres duels, je
suis allé au contact, mais j'avais toujours le pied sur le ballon, je
n'ai rien à me reprocher. Lui n'est pas un poète non plus. Il a bien
donné aussi. On donne, on prend, c'est comme ça.

Cet engagement, c'est ce qu'il faudra reproduire à l'avenir ?
Pour les matches avec cette intensité, oui. Peut-être qu'à certains
matches, on aura besoin d'en mettre moins. Monaco, notre prochain
adversaire, c'est normalement une équipe qui joue. Mais si on nous
propose des duels, il faudra qu'elle sache qu'on est présent. C'était
bien de montrer qu'on en était capable.

Regrettez-vous, comme les entraîneurs, que M. Bré ait parfois sifflé trop vite ?
Je respecte les décisions de l'arbitre. Mais c'est vrai qu'à
certains moments, le ballon sortait clairement et il sifflait quand
même. Dommage pour la continuité du jeu. En Angleterre, ils laissent
jouer, je suis plutôt pour. Il a sanctionné quand il le fallait, mais
peut-être a-t-il eu peur d'être débordé sur les actions litigieuses. Il
a essayé de protéger les joueurs. C'est son boulot.

C'est le type de rencontre dont la L1 manque et qui prépare bien aux coupes d'Europe, non ?
C'est comme ça que le foot devrait se jouer. En France, on siffle
trop. Il faut sanctionner les grosses fautes, mais l'esprit du jeu fait
qu'il y a obligatoirement des contacts.

Le fait d'avoir dominé, enfin, une équipe qui évolue parmi les favoris, ça compte pour vous ?
On doutait un peu de nous, de la qualité de l'effectif. On se disait : ''vivement que les blessés reviennent''.
Mais bon, c'est là qu'on voit qu'on a un groupe. Tous les joueurs se
sont donnés à fond. Les autres équipes ont dû voir notre match. On a
fait passer un message fort. »

Propos recueillis par Cédric ROUQUETTE (à Marseille)

Pas de titre de champion 1993


Marseille ne récupèrera pas son titre de champion de France 1993. La
Fédération française n'a pas donné suite au courrier adressé par Eric
Di Meco et des anciens Olympiens, qui demandaient la restitution d'un
sacre retiré suite à l'affaire de corruption VA-OM. «Le passé est le passé, une affaire jugée est une affaire jugée, a tranché vendredi Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF, lors du conseil fédéral. La page est tournée et définitivement tournée.»

je voit pas pourquoi on reviendrait sur cette affaire , comme ils disent : c'est du passé et c'est jugé , c'est du n'importe quoi !!